71 km en 17 images

Bien que j’aie tout aimé jusqu’à présent de mon été, ma résidence à la Perle et les moments avec mon amoureuse, je me réjouis aussi de retrouver ce qu’est pour moi le goût de l’été ; de pouvoir notamment m’offrir le luxe de rouler 71 km au bord de l’eau, dans les champs, sur les longs cavaliers miniers. Aujourd’hui, j’ai vu de nombreux terrils, de Noyelles à Rieulay en passant par Courcelles, Roost-Warendin ou encore Germignies Nord et Sud (juste entre les deux, au fil de l’eau, avec les réminiscences de la dernière fois que je suis venue, pour mon anniversaire – le goûter sur la muraille de béton au sud puis, au nord, un chemin interdit avec mes jumelles à la nuit tombante et soudain des coups de feu de part et d’autre du canal). Beaucoup d’oiseaux d’eau, également, et des châteaux d’eau.

Ici à Auby

Un pont Christo à Dorignies

Un héron sur la Scarpe

en zoomant (sur cette photo, son reflet lui sied mieux que les réverbérations de la lumière sur sa propre personne)

Un panonceau canin guère effrayant à Râches

Une oie beaucoup plus dissuasive, dix mètres plus loin – là où j’espérais la revoir, à défaut de pouvoir offrir mes mollets à la vindicte de ma Carrie chérie

Entre le canal, les champs et les bois, à/en Anhiers (Jock-a-mo fee na nay)

Une porte sur friche, un peu plus loin

Un irrésistible bébé foulque macroule à Pecquencourt

Champs de Vred (Vred que j’ai arpentée, après avoir arpenté Lallaing, en quête d’une boulangerie ouverte et en vain)

Un château d’eau entre Vred et Rieulay

face à lui :

L’une des treize fois où je me suis perdue, j’ai emprunté la rue des Frères Sans vers les Marais des onze villes

Dame à la poussette, peinture rupestre de trottoir à Rieulay

Juste en face, une installation d’art contemporain (et une boulangerie fermée, à sa droite, mais c’est une autre thématique), soit une très succincte l’histoire de l’art, d’un trottoir à l’autre

Une île des Argales

Puis retour