Il est important de savoir que vous n’êtes pas les seul.e.s à ne plus savoir où donner de la tête. Bien sûr, il est louable de se remettre en question mais vous voir sombrer dans la culpabilité n’aidera pas votre ado grèbe huppé.e à se sentir mieux.

Ne dédaignez pas le témoignage des tortu.e.s d’eau : « Moi aussi, je me suis longtemps demandé ce que je faisais dans ce canal, quelle était la finalité de cette vie aquatique, mais finalement j’ai trouvé ma place ».

Le faisan aussi peut vous être d’un grand secours : « Dites à votre ado d’assumer sa tête rayée. Dites-lui d’être fier.e : c’est sa différence qui fait sa beauté. S’il n’y avait que des perdrix à la beauté classique sur cette planète, on s’ennuierait. » (Je ne fais que rapporter ses propos ; j’ai pour ma part un profond respect pour les perdrix et les trouve très gracieuses.)
