NPR 47 de la préhension

Dans la région, nous avons une expression qui dit « Sur quoi on met des loques… » et que l’on prononce avec une grimace en regardant passer quelqu’un qui ne correspond pas à notre idée d’un être humain – je dis « nous » mais je ne pratique pas cette expression, ne trouvant pas spécialement glorieux d’être un être humain de toute façon. L’idée de ce NPR, c’est plutôt, « sur quelles mains on met des pouces opposables » (encore eux) afin qu’elles puissent tenir des outils, stylos, bombes de peinture, etc. Ci-dessous, le coin de la rue où vivent les parents de la jeune athlète, avec son beau plan du 20ème siècle tout écaillé.

Ci-dessous, une photo du même plan que j’ai prise en octobre 2018, au cours de mon enquête pour découvrir l’identité de ladite jeune athlète. Le parc où elle court, je le dévoile aujourd’hui, s’appelle parc Jean Guimier ; on le voit ci-dessous, quasi indemne et sis à quelques pas de la rocade minière – comme mentionné dans Le sel de tes yeux. Ce parc est également la star de ma chanson de geste qui, je le rappelle, PUB s’intitule La geste permanente de Gentil-Cœur et paraît officiellement demain (oui, un dimanche) aux éditions de l’Attente.