Je poursuivais ce soir ma découverte du site évoqué dimanche dernier dans le NPR 49, 49A et 49B de l’éternité perdue, qui s’avère encore plus sauvage et fascinant que je ne l’avais pensé, plus lapineux aussi (j’y reviens très vite avec d’autres images), et je roulais sur un étroit sentier à travers bois quand j’ai été saisie par cette vision.

Une unique tulipe rouge dans ce camaïeu de verts dont les parfums, déjà, m’enivraient.

Et j’ai vacillé parce que cette fleur si belle, si singulière et inopinée,
