L’une vibre et l’autre frétille, toutes deux se cabrent de joie parce qu’ensemble, elles sont libres et sauvages, le vent dans la crinière. Il n’y aura pas de happy end pour ces chevales parce qu’il n’y aura pas de fin, jamais, juste un infini chemin heureux.



Les chevales ci-dessus pourraient figurer dans le catalogue Imagin’Hair – elles en seraient sans doute les fleurons.
(photos prises à Annay-sous-Lens, Lens et Loison-sous-Lens – oui, il y a beaucoup de villes-sous-Lens parce que Lens c’est grand et ça rayonne sévère)