il fallait que ça tombe sur moi

Début juillet, trois poètes.ses et moi mènerons une expérience que l’on pourrait appeler poésie de terrain. Nous nous sommes répartis différents sites et j’aurai la joie d’officier au bas du pont que l’on voit ci-dessous. Je m’en réjouis d’avance. Quand j’ai trouvé cette photo, j’ai dû résister à la tentation de me lancer immédiatement dans l’écriture.

(Photo de Lucien Huot.)

Il y aura aussi des musicien.ne.s. Plus de détails dès que la formidable initiatrice du projet nous donne le feu vert.