Quelques ruines minières

Hier, de retour chez moi, j’ai sauté sur mon vélo, roulé à travers champs, au pied de divers terrils, et je suis tombée sur cette maison abandonnée en bordure des champs à Grenay. Alors j’ai décidé de consacrer enfin un National Géo à quelques ruines minières.

Il y a bien sûr les cités minières désertées. Ici, à Sallaumines,

là à Barlin,

(les cités fantômes nécessiteraient un National Géo à elles seules)

mais le territoire est aussi ponctué d’anciennes infrastructures des houillères, certaines bien cachées comme celle-ci, à Bénifontaine

et d’autres plus accessibles comme celle-ci, à Haisnes,

qui est devenue un haut lieu de street art et même d’art contemporain.

À Fouquières, la salle des pendus est bien cachée dans la végétation mais semble être le théâtre d’une vie nocturne assez mouvementée.

Il faut dire qu’elle est tout confort, avec son jardin d’hiver au rez-de-chaussée,

son premier étage de type loft

et sa garde-robe intégrée.

À Loos-en-Gohelle, on ne pose pas ses meubles, il y a un peu de boulot.

À Harnes, nous vous proposons plutôt des bureaux.

On apprécie leurs belles perspectives,

leur luminosité,

le système de chauffage économique.

Je m’arrête là pour aujourd’hui ; 19 photos, c’est déjà bien assez lourd pour un seul billet. Mais assurément il y aura un Des ruines minières (2), peut-être même un (3), et un spécial cités fantômes, je m’y engage.