Tandis que mon amoureuse globe-trotteuse rentre à Londres

après une semaine dans ses Pouilles natales

je suis heureuse de passer trois semaines sans bouger de mon bassin minier (ce qui ne m’empêche pas de bouger beaucoup dedans), où je suis en train de finir les corrections d’un manuscrit dont je désespérais ; il suffisait de me poser un peu pour que mes pensées s’organisent. Du temps, je le répète : il faut du temps et de la concentration.

(Photos prises à Londres, Bari et Sallaumines)