Merci à Candice et Lila pour leur invitation et pour nos échanges à Radio Campus Grenoble. Il en est ressorti le deuxième épisode d’une émission à laquelle je souhaite de beaux jours. On peut l’écouter ici. Le terme que mes hôtesses ont employé pour me qualifier, celui de diggeuse, est sans aucun doute celui qui décrit le mieux mon activité principale des trente dernières années : je l’adopte.
Merci à World of Echo pour cette chronique, dont une expression rejoint (il n’y a pas de hasard) mon dernier texte pour Revue & Corrigée : « Let’s call it maximalism in miniature ». C’est exactement ça…
Ce blog est rarement à jour, aussi chaque fois que j’y apporte une modification significative, je le signale dans un billet. Aujourd’hui, c’est ma bio-bibliographie que j’ai mise à jour – quoique les photos ne soient pas de l’année parce que j’en ai peu de récentes (où je ne me fais pas horreur). Mon coeur aussi est en maintenance, comme bien d’autres parties de mon corps, mâchoires, thyroïde, poignet, oreilles, et la médecine n’est plus ce qu’elle était, comme on le sait tou-tes. Bref, vous pouvez écouter sur Soundcloud mon nouveau mix. Les chagrins d’amour ont aussi leur bande originale. Ce mix guidera vos sensibilités meurtries vers la lumière. Votre cœur brisé est un cœur libre.
Tracklist :
Elizabeth Davis (fka Wilted Woman), Couldn’t Help It Elina Bolshenkо́va, Moonage Daydream / сон в лунном свете Daniella Ljungsberg, The Carrier (I touch its cold) Chra (Christina Nemec), FIBER (reinforced) Marta Carin, V Thorn Wych, The blue rose of forgetfulness Clara Brea, Dawn at Riet Vell Joan La Barbara, Erin Maryam Kiani, Resilience Minicomponente (Paula Lila), Einstein
Merci à Jennifer Lucy Allan pour ce premier article sur mon premier disque. Celui-ci ne sort officiellement que le 13 avril, jour de l’anniversaire de Valentina, mais on peut déjà écouter la version numérique sur Bandcamp ou, désormais, sur le site de The Quietus.
Du 20 au 23 mars, on pourra entendre au Festival Bruits (édition « Brouillé-es »), à Nantes, deux miniatures sonores que mon amie Aude Rabillon et moi-même avons proposées et qui, à notre grande joie, ont été sélectionnées. La mienne, Marie téléphone maison (1’02) est, comme son titre le laisse imaginer, un cadeau du ciel tombé sur mon répondeur et que j’écoute chaque fois que j’ai besoin de rire. Celle d’Aude, qui lui répond, s’intitule Je ne réponds plus de rien (0’48). Cette nouvelle tombe le jour de la sortie de Colline et me console amplement de la déception de ne pas voir mon nouveau roman au Furet de ma propre ville (qui ne vend que des best sellers et des gadgets).
La troisième résidence de Valentina au Café Oto, à Londres, a été un nouveau ravissement, un bain de musique extraordinaire et d’amitié, avec en plus cette année un-e DJ extraordinaire, Mo Probs, qui nous a fait danser tou-tes ensemble, queers de toutes origines ethniques et de tous les âges : c’était notre 8 mars, notre manière de générer de l’amour en opposition à ce monde de haine et de destruction. Il manque beaucoup de personnes sur les photos ci-dessous (Karolina, Marie, Nono, Clara, William, Louise, Irene, Thessa, etc.) mais on voit un peu de l’esprit qui a flotté sur ces trois jours intenses.
Avant l’ouverture des portes, le premier soir, Valentina et moi dansant dans le café
Femke, Alessandra, Dali et moi
Ci-dessous, autour de moi, Alessandra Novaga, Dali de Saint-Paul, Rebecca, Valentina et Elena Colombi, photo prise par Femke (Loma Doom)
Une photo prise par Dali de ma performance avec Femke et Valentina
Photo shoot sur le bateau-studio que Valentina partage avec Susumu, Louise et William – j’ai essayé de fournir à Dali une photo pour la promo de son nouvel album, j’aime beaucoup celle-ci (le dirai-je jamais assez ? Dali est un être humain formidable, une artiste exceptionnelle et une amie précieuse)
Et hier soir, après les derniers concerts, Kenichi Iwasa, YPY, Susumu, Valentina, Mo Probs, Rory, Femke, Yoshino et moi
Dans ma troisième chronique pour la revue, Des miniatures excessives, je parle de Stina Stjern et de Marijn Verbiesen aka Red Brut, mais j’évoque aussi Sasha Zakharenko aka Perila, Katie Gerardine O’Neill, Amanda Wilson aka Kassia Flux, Frederikke Hoffmeier aka Puce Mary, Amy Cutler, Lia Kohl, Memory Leaks Onto The Rug, Teresa Winter, Renée Van Trier et d’Annika Moses aka Great Statue