Merci à Candice et Lila pour leur invitation et pour nos échanges à Radio Campus Grenoble. Il en est ressorti le deuxième épisode d’une émission à laquelle je souhaite de beaux jours. On peut l’écouter ici. Le terme que mes hôtesses ont employé pour me qualifier, celui de diggeuse, est sans aucun doute celui qui décrit le mieux mon activité principale des trente dernières années : je l’adopte.
Merci à World of Echo pour cette chronique, dont une expression rejoint (il n’y a pas de hasard) mon dernier texte pour Revue & Corrigée : « Let’s call it maximalism in miniature ». C’est exactement ça…
Merci à Jennifer Lucy Allan pour ce premier article sur mon premier disque. Celui-ci ne sort officiellement que le 13 avril, jour de l’anniversaire de Valentina, mais on peut déjà écouter la version numérique sur Bandcamp ou, désormais, sur le site de The Quietus.
Aujourd’hui, Permanent Draft se réjouit de présenter Gym Douce– qui paraîtra officiellement le 13 avril mais que l’on peut se procurer pendant toute la résidence de Valentina au Café Oto, du 7 au 9 mars – il y aura même vingt exemplaires deluxe, fabriqués par nous deux à la maison. On peut écouter l’intégralité sur la page Bandcamp de Valentina (seulement un titre sur celle de Permanent Draft, hélas), à savoir ici. C’est mon premier disque, nous fêterons ça ce soir en donnant une performance de Gym Douce avec Loma Doom en guest star.
Musique de Valentina Magaletti Textes de Fanny Chiarello Enregistré au Studio Ovo par Susumu Mukai Master à Zona par Marta Salogni Design par Louise Mason Image de pochette par Valentina
100 exemplaires assemblés par mes soins dans l’église de notre distributeur state51, et 100 autres à venir. Version digitale disponible sur Bandcamp.
Sur les photos de William Sundfor, on devine l’ambiance de Synth Chapelle le week-end dernier. Le public se trouvait des quatre côtés de la scène, on n’en voit donc ici qu’une partie.
Ci-dessus, Laura Zeguers, Lucas (de LYL Radio) et moi présentant Basta Now. Dans la foulée de cette discussion, Valentina et moi avons fait une performance batterie (et vibraphone) – poésie, pour la première fois en français.
Ensuite de quoi Valentina a poursuivi solo.
Puis nous avons assisté au concert de notre pote Miaux.
Puis après nous être éclipsées avec mon ami Emanuel Campo pour dîner, nous avons pu voir le dernier concert, celui de Luna, aka Fiesta en el Vacio, que je rencontrais pour la première fois bien que nous ayons déjà souvent échangé.
Comme chaque année (du moins depuis notre rencontre), Valentina aura une résidence au Café Oto, à Londres, du 7 au 9 mars (on appelle là-bas résidence ce qu’ici on appellerait une carte blanche). Cette année encore, l’affiche réunit des ami-es d’un peu partout, ce dont je me réjouis – et je vais enfin rencontrer Irene Bianco, dont nous avons sorti l’année dernière le premier album solo. Valentina et moi présenterons un nouvel objet, Gym Douce, en compagnie de Loma Doom – un peu comme mon amie Dali de Saint Paul avait présenté avec nous ce qui serait le manifeste de Permanent Draft, il y a trois ans, à savoir en totale impro. Hâte de ces quelques jours en forme de pochette surprise, et des promenades et concerts avec Dali et Valentina en marge de la résidence…
Le 21 février paraîtra sur mon label Permanent Draft un album de Marie Guérin sous le nom Marie de la Nuit, Transportées. Voici la note d’intention de l’artiste :
« De la transe archaïque à la transe électronique, un fil musical circule de la Bretagne a la Tunisie. Commun à la culture tunisienne et à la culture bretonne (chant-contre-chant, bombardes traditionnelles…), le motif de la transe va guider mon écriture musicale : la transe sera prise en charge par des sons naturels, des sons électroniques et des voix féminines ; la répétition et l’accumulation conduisent à un transport physique. Transportées convoque les mémoires de nos ancêtres via une ligne musicale qui puise dans la poésie mystique, les moods de la modalité, le souffle des rituels païens et la mémoire d’une confrérie soufie féminine tunisienne. La pièce donnera à entendre une exploration transcontinentale, entre nos communs, entre nos présents et nos passés, entre nos ici et nos ailleurs. Nous empruntons un chemin de transe en suivant les enregistrements, les traces de la tradition orale. »
Merci à Fabio de Soundohm de lui accorder d’emblée une place dans son best of 2025 (précommandes ici). Comme Karolina ne travaille plus avec nous, c’est moi qui ai monté la petite revue de presse et ça me fait un drôle d’effet d’en retrouver déjà des extraits sur le vaste Internet. Sur ce projet, c’est aussi moi qui ai rempli les formulaires marketing pour le distributeur, moi qui ai obtenu les droits d’utiliser l’image de pochette auprès d’une collection bretonne et je suis, je l’avoue, assez fière de me dégourdir un peu.
Le magnifique graphisme signé Louise Mason (de state51) incorpore des éléments visuels qui sont l’oeuvre de l’artiste Maeva Pensivy.
Longue et belle vie à cet album que nous aimons beaucoup.
Dans ma nouvelle chronique pour la revue, Basse solo, atomes et masses, je parle de Farida Amadou et de Martina Berther ; Valentina illustre l’article. Mini aperçu vidéo, où l’on entend et voit « mes » musiciennes du trimestre (jusqu’à 0’39) :