Banale

Banale

L’école des loisirs, collection Neuf

banale

Quatrième de couverture

« Tout le monde a un don, pense Clara. Il suffit que Maxime, son grand frère, ouvre la bouche pour faire rire ses amis. Inès et Théo savent jouer de la musique, remarquablement. Enzo, lui, fait chavirer le cœur de toutes les filles de l’école. Et Jade a la mode dans la peau.
Mais Clara a beau essayer de les imiter, toutes ses tentatives virent à la catastrophe. Une blague ? Elle tombe à plat. La flûte à bec ? Une torture pour les oreilles. Alors une tenue exubérante et des leggings rose fluo ? Il faut que ce soit le jour de la photo de classe. Dans quel domaine Clara pourra-t-elle enfin se distinguer ? »

Notes de l’auteur

1. Extrait à comparer avec celui du Blues des petites villes sur la page dédiée à ce dernier :

« Transparence et gyrophare

Dès la première seconde de ma vie, tout m’a destinée à la plus plate banalité. J’aurais voulu naître un 31 décembre vers 23h59, et que mes parents ne se soient jamais mis d’accord sur l’heure exacte de l’accouchement parce que leurs montres n’auraient pas été parfaitement synchronisées ce jour-là. Sur ma carte d’identité, on lirait « Née le 31 décembre 2004 ou le 1er janvier 2005, personne ne le sait ». Au pire, un 29 février m’aurait convenu, un 25 décembre, ou à la limite un 14 juillet, pour le feu d’artifice. »

(De même que Prends garde à toi fonctionne en diptyque / négatif avec Holden, mon frère, Banale fonctionne en diptyque / négatif avec Le blues des petites villes.)

2. mini playlist :

Maurice Ravel : Shéhérazade, La flûte enchantée (Régine Crespin, Ernest Ansermet)

Alexandre Borodine : Danses Polovtsiennes, Le Prince Igor (Gustavo Dudamel à la baguette, parce que (voir 2.) Clara le trouve TROP beau)

3. Les TROP beaux gars qui mèneront Clara à la musique classique : l’espace ci-dessous ressemble donc à la chambre de Clara, couverte de posters…

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(Jonas Kaufmann)

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(Rolando Villazón)


(Max Emanuel Cencic)

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(Gustavo Dudamel)