Meura

Tout est dit dans cette capture d’écran, que j’ai volée sur un réseau social.

Ne vous fiez pas à l’image : comme l’indique aimablement le réseau, il fera beau ce soir-là, un temps idéal pour prendre la route à pied ou à vélo jusqu’à la librairie Meura, où Thierry Girard et moi discuterons du bassin minier, du temps qui passe et de son empreinte sur ce que le photographe appelle l’épaisseur du paysage et que j’appelle quant à moi la densité du réel – c’est l’une des coïncidences qui ont donné aux éditions Light Motiv l’envie d’organiser cette rencontre. Ce sera surtout l’occasion de découvrir le magnifique livre de Thierry Girard sur le territoire qui nous réunit, Le monde d’après.

Estivalitude

Ce matin, à 9h, sera diffusée sur France Inter une émission enregistrée en juillet, dont Jeanne Cherhal et moi étions les invitées, au micro de Christophe Bourseiller. Je pense n’avoir jamais été aussi navrante à la radio, sans doute parce que le format inhabituel m’a quelque peu désarçonnée, en tout cas j’ai ruminé ma propre nullité pendant deux semaines. Je m’en suis remise, ça va. Mais aujourd’hui, il n’y a plus rien à faire : ça va s’entendre, inutile de faire comme si ça n’avait pas existé. Désolée. Présentation de l’émission, ici.

Re-forge

Et un petit souvenir de ma dernière lecture à La Forge (place du Général de Gaulle, à Marcq-en-Barœul) avec le violoncelliste Guillaume Lafeuille. Merci à Nico pour la photo !

La poésie encore

J’a-dore le marché de la poésie, quand j’y retrouve Mandana, mes Montpelliéraines de choc, Sarah, IBL (que je ne présente plus) et NatYot, et les autres ami-e-s.

(Ici, avec IBL et Sarah <3)

Les Parleuses : le podcast

Samedi dernier, j’ai eu l’honneur de répondre à l’invitation de Littérature etc. (encore un immense merci à Aurélie Olivier pour sa confiance) et de devenir une parleuse. Vous trouverez le podcast, le texte et quelques images sur la page Les Parleuses #3 : Carson McCullers, accessible depuis le menu supérieur de ce blog ou en cliquant sur ce lien.

(Merci à mon antique pour la photo souvenir.)

Vous pouvez également lire mon texte ici-même.

Rappels

J’ai piqué deux images sur la page de Littérature, etc. pour vous rappeler notre rendez-vous de demain, à 16h chez Violette (place Vanhoenacker, Lille).

Mais avant cela, nous nous verrons ce soir à la Forge (place du Général de Gaulle, Marcq-en-Barœul), à 19h. Vous n’avez pas oublié, j’espère ? Ce serait dommage parce que Guillaume Lafeuille jouera du Britten et du Ligeti au violoncelle ; quant à moi, je lirai quelques extraits de mon livre sur Meredith Monk, A happy woman.

Amies de la poésie

Vous nous avez ratées à Montpellier ? Ne nous manquez pas à Paris, au Marché de la Poésie de Saint-Sulpice, le deuxième week-end de juin. Vous pourrez y découvrir le nouveau livre d’Isabelle Bonat-Luciani, Des Rendez-vous, et vous y procurer Le nord du monde de Nathalie Yot, si vous n’avez pas encore lu, ou (si vous l’avez déjà lu) pour l’offrir à vos nombreux amis, ou (si c’est déjà fait) découvrir la poésie de NatYot et son super groupe Natyotcassan (vous pouvez l’écouter ici). IBL et moi serons sur le stand des Carnets du Dessert de Lune le samedi 8 juin de 15h30 à 16h30.

Je suis ici en compagnie d’IBL et NatYot, à la Comédie du Livre.

Un pot de bienvenue

Cher-e-s ami-e-s de Clémentine,
chers admiratrices et admirateurs de Clemix,

Votre am-i-dole m’annonce votre afflux imminent sur ce modeste blog et je me réjouis de vous accueillir, même si je suis en travaux ces temps-ci. Désolée pour le désordre. Faute de pouvoir vous tendre une coupe de mousseux et une assiette de Monaco (marque déposée), je vais vous offrir aujourd’hui un petit bonus au clip de Motherfucker. Êtes-vous prêt-e-s pour le grand frisson ? Le lieu que j’ai dégoté pour le tournage n’est pas que superficiellement flippant, il l’est en profondeur, comme une vue satellite le révèle. Aujourd’hui, rien que pour vous, les péniches englouties de Cashmetal Sequedin et de Produits Chimiques de Loos (oui, vous avez bien lu : bonne baignade !)

Si vous voulez zoomer à votre aise, la localisation exacte est 50°37’31.5″N 3°00’34.1″E. Je pensais que mon imagination me jouait des tours mais après consultation de Clémentine et d’Allison, je peux aujourd’hui l’affirmer, on nous cache des choses, et pas des petites. Pas des miettes qu’on glisse sous des tapis. Avouez : vous frémirez encore plus, désormais, quand vous visionnerez la vidéo de Motherfucker.

Ne me remerciez pas, c’est moi qui vous remercie de votre visite. Revenez quand vous voulez – j’ai aussi une image d’abduction extraterrestre en vue immersive dans un champ à Vendin-le-Vieil, je vous la montrerai à l’occasion.

1er mai

Petit souvenir d’une rencontre matinale avec Canan Marasligil et Auré de l’association Mine de Culture, au salon du livre d’expression populaire et de critique sociale, hier, à Arras. Canan et moi poursuivions une discussion ébauchée le 6 avril à Libercourt lors du Melting Potch, discussion qui pourrait bien se poursuivre encore puisque, hors micro, nous avons commencé à questionner la notion même de territoire, et la manière dont les mots fractionnent et cloisonnent à l’extrême notre expérience en même temps qu’ils opèrent un lissage de la société – un paradoxe qui m’occupe beaucoup depuis plusieurs mois et que souhaite aussi questionner Mine de Culture. J’espère donc pouvoir dire, à suivre…

Motherfucker

Le nouveau clip de Clemix (mon amie Clémentine Collette) vient d’être lancé officiellement sur le World Wide Web. J’ai l’honneur d’avoir trouvé le site du tournage (n’hésitez pas à faire appel à moi si vous cherchez des lieux glauques), d’y avoir couru avec une GoPro sur la tête (très seyant) et d’avoir vu toutes les versions du clip jusqu’à sa forme définitive (les débriefings d’après projection avec mes amies Aline et Claire vont me manquer). Longue vie à Motherfucker !