Tata Bigoudi

Ami.e.s de la métropole lilloise, ce soir à 21h je serai en direct (si j’ai bien compris) dans Tata Bigoudi, l’émission qui défrise l’hétérocratie, sur Radio Campus.

Causette

Un petit article sur La vie effaçant toutes choses dans le magazine Causette, ce mois-ci. J’aurais pu m’amuser à relever toutes les bizarreries que j’ai lues et entendues à propos de ce texte, l’inverse d’un making of – appelons cela un démaking of. C’eût été amusant. Ici, par exemple, Rose est fauchée par un cycliste.

Des radios

Demain, je vais enregistrer une émission à la Maison de la Radio – L’humeur vagabonde, sur France Inter ; je ne sais pas encore quand ce sera diffusé. Et le soir, sur Radio Libertaire, passera mon entretien avec Alexandrine Halliez, que je remercie encore.

RFI

Merci à Jean-François Cadet qui m’accueillait en direct, cet après-midi, dans son émission Vous m’en donnerez des nouvelles, sur RFI, pour parler de La vie effaçant toutes choses. On peut l’écouter ici.

Mes petites amoureuses à La Roche-sur-Yon

C’est vraiment un plaisir de faire cette lecture, surtout devant un public si réceptif… Merci à tou.te.s ! Merci à Jany pour cette photo.

Et merci à Clémentine pour celle-ci, où ma tête orne le Grand R, et que j’ai pris la liberté de réduire à un carré en noir et blanc.

Du papier et des autrices

Ce soir, quelques amis et moi avons fêté la version papier de mon portrait by Le Monde au QG LGBTQ. Juste avant cette modeste célébration, j’ai discuté avec Éliane Viennot du mot autrice et je réfléchis encore au meilleur positionnement que je pourrais adopter par rapport à cette question linguistique encore complexe à mes yeux ; plus tard, Barb, qui vient du Québec, m’a dit pencher comme moi pour auteure (c’est d’ailleurs le parti-pris québecois officiel). Le fait que le mot autrice ait été l’un des mots féminins les plus maltraités de la langue française, ces derniers siècles, remue en moi des notions de justice dont je ne sais pas encore ce que je ferai. Je vous tiendrai au courant. J’irai peut-être vivre à Montréal pour ne pas devoir trancher. Pour l’instant, écrivaine me semble tout compte fait relativement acceptable à l’oreille (quoiqu’elle n’ait pas de frontières dans la sphère musicale, il semblerait que mon oreille soit un peu lente dans l’assimilation des évolutions – ou reconquêtes – du langage par la cause féministe, ce dont je ne suis pas très fière, mais d’après Éliane Viennot, ça viendra).

(Merci à mon Antique pour la photo.)

Le Monde des Livres

Merci au Monde des Livres de m’avoir consacré son portrait de la semaine et merci particulièrement à Florence Bouchy, qui l’a signé. Merci à Antique de m’avoir envoyé les captures d’écran de la version numérique, faites sur son téléphone, de manière à ce que je puisse les assembler comme suit :

Plus de précisions sur les références qui ont nourri La vie effaçant toutes choses, ici (David Lynch, cité dans l’article du Monde, n’en est effectivement pas absent mais il a surtout marqué la première mouture du texte, avant que ne se pose la question de savoir s’il s’agissait d’un roman – c’était alors plus évident – ou d’un recueil de nouvelles ; plus essentiels ont été, dans ma réflexion sur la forme, Trois femmes de Robert Altman, Three Voices de Morton Feldman et Emily de Stewart O’Nan). Je tiens enfin à modérer : je n’ai pas dit que l’écriture était ma vie, ce n’est pas le cas (ou si je l’ai dit, c’était une coquille orale – après tout, ça existe) ; j’ai dit que je ne sais pas vivre, en effet, et que l’écriture est ma manière d’être au monde. Mais les gens que j’aime, la musique et la course à pied ont autant de sens pour moi que l’écriture et je ne serai jamais de ces auteurs qui prétendent que seuls les livres comptent – plutôt mourir (pour rester radicale).

Lire

Dans le numéro d’avril du magazine Lire, Josyane Savigneau évoque La vie effaçant toutes choses. Ce n’est pas la première fois que je suis amenée à la remercier – je le fais d’autant plus.