TESTE

Mon poème L’autoroute de l’An 2000 figurera dans le numéro d’automne de la revue TESTE. Merci à Cédric Lerible pour son invitation et à toute l’équipe de m’y accueillir – surtout pour un numéro qu’illustre un si magnifique cerf…

TESTE 47 – véhicule poétique – automne 2022
82 pages – 10 € – 26 x 19 cm – issn 2112-4469
Couverture Alexandre Marchi « Le brame du cerf » (détail).
Commandes en librairies courant du mois d’octobre.

L’Obs

Un immense merci à Élisabeth Philippe pour sa chronique de L’Évaporée dans L’Obs et pour son dossier sur ce qu’elle appelle la nouvelle vague mauve, qui nous cite également, Wendy et moi.

hier

dans la magnifique librairie du Channel, à Calais, Clara animait la première rencontre de sa vie et elle était parfaite ; et les lecteur.ice.s étaient formidables, je me souviendrai longtemps de Ninon, de sa grand-mère, d’une seconde Clara, d’Armelle, d’une jeune lycéenne survivante d’une autre évaporation et de bien d’autres – et de leurs sourires, de leurs rires, de leurs questions, de leurs exclamations, de nos discussions pendant les dédicaces. J’ai aussi aimé le délicieux repas vegan préparé par le chef du Channel et transporté à travers le bâtiment désert à la lueur des téléphones, les conversations à bâtons rompus avec Clara, Basile et Marie. Et le gîte du Channel, qui m’a fait regretter d’avoir décliné, il y a 23 ans, une proposition de résidence (si vous voulez bien m’inviter de nouveau, merci d’avance). Et les rues de Calais, tôt le matin. Et le spectaculaire lever du soleil. Et le train régional tortillard qui s’arrêtait à toutes les gares, et les paysages donnaient envie d’être sur un vélo, à parcourir ces chemins de campagne, zigzaguant entre les marais.

(Clara et moi pendant la rencontre ; merci à Basile pour la photo)

ci-dessus, le château d’eau du Channel au lever du soleil et ci-dessous, le paon dans le parc qui fait face à l’hôtel de ville et à ses Bourgeois de Calais

Des chevales en vivarium dans le centre-ville :

et un sujet de réflexion – d’autant que, par le plus grand des hasards, je suis passée au moment où une équipe municipale décrochait les grappes de ballons

Je me suis dit que je pourrais vivre à Calais. Que je pourrais vivre à Dunkerque. Où, encore ? A Douai, à Valenciennes, à Beuvry… Dans pas mal de villes, à vrai dire, moi qui pendant des décennies de vie lilloise n’ai pu concevoir de vivre dans aucune des villes que je traversais, dans aucune des villes où je séjournais brièvement pour une rencontre, une résidence, un festival. J’ai bien changé, maintenant que je suis bien là où je suis ; je pars d’un pas alerte, puis je souris de revenir, je souris dès les premiers terrils à l’horizon (ce matin, Noeux-les-Mines).

Le Channel

Merci à Clara Liparelli, de la librairie du Channel, de m’avoir signalé ce très chouette article paru aujourd’hui dans Nord Littoral, et merci à Émilie Demeulemeester, qui en est l’autrice.

télégramme

plus de temps pour blog cause rentrée chapeaux de roue entre Évaporée + groupe de recherche Vertébrale(s) avec Aude Rabillon et Florentine Rey + création label de musique expérimentale / micro-édition de poésie en anglais 100% féminin avec Valentina + clôture manuscrits etc. – L’Évaporée à ce jour 50 coups de cœur libraires 2 réimpressions et 2 entrefilets dans la presse (merci beaucoup pour le soutien) programme des prochaines rencontres en cours d’élaboration – rappel ce soir librairie du Channel Calais 19h – Lyon lancement L’Évaporée à la Madeleine avec Wendy sur écran pour cause covid super accueil super lectrices (+ 1 homme) puis tablée Chromatique avec Katia Bouchoueva Isa Stragliati Béatrice Brérot Flora Souchier Mya et bien sûr Valentina – Pantin Cité Fertile festival Empow’Her chouette librairie 1 livre 1 tasse de thé cocktails Lillet rencontre Lisette Lombé – 8 jours avec ma merveilleuse chérie Lens Lyon Paris Lille Lens all the love all the kisses trains badminton chatons breakfast in bed coconut oil dossiers subventions en anglais pour label – rentrée à Londres hier me manque déjà la mia bambolina

rituel librairie la Madeleine Lyon – photomaton avec Juliet et le livre – photos Valentina merci

première rencontre avec Katia Bouchoueva (juste après achèvement premier livre de poésie à 4 mains) – photo Isa Stragliati merci

Paris dans appartement vide dit bureau super amis de Valentina – collectionneurs d’art contemporain = espaces épurés = respiration après enfer des rues étroites et densité de population démentielle

La bonne compagnie

L’Évaporée se fait des potes dans les vitrines et en TG de librairies dont mes amies qui vivent (un peu) loin m’ont envoyé des photos aujourd’hui :

ici à Durance, à Nantes

et ici aux Bien-aimées, toujours à Nantes. Merci à ma très chère amie Aude Rabillon pour les photos.

Et ici, en vitrine de la librairie Poëtini à Bruxelles, prise en photo par mon amie Maïté.

Merci aussi aux libraires qui nous soutiennent – mieux encore, nous portent, et nous permettent de respirer dans cette rentrée littéraire à la fois pléthorique et monomaniaque <3

Libé

Un article sur L’Évaporée, avec quelques approximations (la première citation n’est pas de moi/Jenny mais de Wendy/Eve, par exemple6) mais ça fait plaisir, un article dans Libé.

Eupen

Ce week-end à Eupen, près de Liège, il y avait le festival Meakusma. Ma chérie a fait danser une foule très dense, dont Delphine Dora et moi au premier rang. Nous avons retrouvé des ami.e.s et assisté à de très chouettes concerts, notamment ceux de Delphine et du duo Lilly Joel, sur l’orgue de l’église. Audrey Chen et James K (qui est une femme) étaient chouettes aussi. Et puis il y avait la forêt, le barrage et le lac ; je suis très fière de mon élève Valentina (puisque, je le rappelle, je suis son coach sportif) qui a marché jusque là sans jamais se plaindre. La première photo ci-dessous est d’elle (bien plus réussie que les miennes). Donc voici le barrage, construit en 1950, très classe.

Ses poubelles colorées doivent plutôt dater des années 70.

De l’autre côté, le lac où j’espérais me baigner n’était pas très engageant, d’ailleurs aucun oiseau d’eau ne semble y vivre – tristesse… Je l’ai quand même trouvé très beau.

Les ascenseurs du barrage ressemblent à ça.

Mais nous, nous avons pris l’escalier, nous sommes passées devant une guérite,

un panneau très élégant,

et nous avons vu l’envers du décor.

Comme sur les terrils, il y a des escaliers dont on se demande quelle est la fonction au juste et, bien sûr, ce sont mes préférés. Ici, mon trésor se repose une minute sur une marche gratuite au pied de l’imposant ouvrage.

Là, nous quittons la forêt pour regagner la civilisation belge,

ses cygnes

et ses Jésus (beaucoup de Jésus) abrités sous des petits toits (certains sont juste des triangles en alu comme sur les boîtes aux lettres mais j’ai choisi de vous en montrer un plus euh, flamand).

des remerciements

Cambourakis nous envoie ce soir des extraits des coups de cœur pour L’Évaporée relevés chez des libraires. Wendy et moi sommes infiniment reconnaissante à ces dernier.e.s. Merci aussi aux lecteur.ice.s qui nous manifestent leur enthousiasme sur Instagram ou par courrier, leur soutien est très précieux. <3

« L’Évaporée, c’est l’histoire après une rupture, c’est les battements du cœur qui se débattent, c’est la rencontre littéraire dont je rêvais sans même le savoir. Merci Fanny, merci Wendy »
L’Affranchie librairie

« Un grand coup de cœur pour ce roman d’une réussite superbe, création littéraire à deux mains, deux écritures magnifiques. »
Au Bonheur des dames

« L’histoire de l’errance nécessaire à la suite de toute absence, écrite avec finesse, sensibilité et émotion. »
Payot Neuchâtel

« Une histoire d’amour et de rupture écrite à quatre mains. Dans une alternance des points de vue parfaitement maîtrisée, on plonge tour à tour dans la moiteur campagnarde ou la mélancolie parisienne… Une réussite ! »
Le Libr’air

« Dès la première page, j’ai été happée dans cette histoire d’amour dont l’écriture à quatre mains révèle toute la beauté et la complexité. »
La Petite Banquise

« Un roman introspectif et sensible à l’écriture aussi brute que poétique. Le récit est rythmé par des chapitres courts qui alternent le point de vue de chacun des deux personnages ; une façon pour Ève et Jenny de se rencontrer autrement. »
Librairie Coiffard

« Sublime récit lesbien à deux voix et quatre mains, L’Évaporée est tour à tour touchant, introspectif, mélancolique, aimant… Et une réussite fond comme forme. C’est un des coups de cœur de la rentrée ! »
Les Mots à la bouche

« Une expérience littéraire exaltante et poétique. Ou comment transformer la douleur d’une rupture incomprise et soudaine en un livre beau et doux. »
Librairie-café Le Murmure

« Ce très beau roman, en alternant les points de vue des deux femmes, interroge la possiblité d’une relation durable. Un coup de cœur de Julie. »
Librairie Candide

« Dans ce très beau dialogue à l’écriture épidermique, Fanny Chiarello et Wendy Delorme vont fouiller les ruines d’une relation amoureuse pour mettre au jour les racines de sa fin. Superbe ! »
L’Arbre à lettres

« Un procédé littéraire très stimulant et une écoute épatante entre les textes qui permet de dévoiler les vérités de chacune, toutes deux très belles et profondes. L’Évaporée ou comment transformer une rupture en poésie. Un immense merci. »
La Petite Ourcq

« Deux femmes s’aiment, se déchirent, se manquent. Chacune de leur côté elles reviennent sur leur relation, les non-dits comme les gestes tendres, en se demandant si nos liens passés ont une influence sur nos amours d’aujourd’hui. Le texte est d’une rare intelligence émotionnelle, et vise juste. Bravo. »
Librairie de Paris

« On se reconnaît dans les pensées, les actions et dans les tourments de ces deux femmes. Et
L’Évaporée, c’est aussi et surtout un texte qui tient par ses deux magnifiques plumes, complètement différentes mais qui ajoutent de la richesse et de la profondeur au texte. »
Librairie du Tramway

« UNE séparation brutale,
DEUX points de vue écrits par deux autrices d’exception,
DEUX manières d’envisager la fin d’une histoire et le début d’une nouvelle,
UN roman plein de passion, d’humour et d’espoir.
Bravo Wendy Delorme et Fanny Chiarello. »
Les Furtifs