La Voix du Nord

Merci à Catherine Painset (qui me suit depuis mes débuts et me dit toujours ce qu’elle pense des textes, avec franchise et délicatesse quand il le faut) pour ce bel article qui donne toute sa place à ma démarche, en mentionnant notamment la manière dont j’ai assimilé Three Voices de Morton Feldman dans le processus d’écriture.

L’humeur vagabonde

C’est ce soir, à 19h21, presque en direct (l’émission a été enregistrée le 1er mai, certes, mais la page de présentation sur le site de France Inter comporte une photo de moi prise en 2012 par le regretté Max Rosereau, alors le 1er mai, ce n’était même pas hier, c’était tout à l’heure). Encore merci à Kathleen Evin pour son invitation et pour la justesse de sa lecture.

onlalu

Merci à Aline Sirba pour son article sur La vie effaçant toutes choses, que l’on peut lire ici. Elle y dit notamment, « l’auteure écrit comme des variations à partir d’un thème musical », ce qui me réjouit énormément. Un aperçu :

Eulalie

Merci à Marie-Laure Fréchet (qui me suit depuis mon tout premier texte) pour cet article paru dans la revue Eulalie et qui me touche beaucoup.

La Comédie du Livre : on stage

Nous n’avons pas fait que boire des verres, partager des tickets restaurant et discuter sans fin, nous avons aussi lu de la poésie pour un public étonnamment fourni et réceptif, en compagnie de Julien Delorme. L’année prochaine, nous pressentons que ce succès nous vaudra une carte blanche ; je commence dès aujourd’hui à imaginer qui je pourrais inviter (amis auteurs, envoyez-moi vos dons à l’adresse habituelle ou, si vous habitez dans la moitié sud du pays – il ne faudrait pas épuiser vos pigeons -, je suis sûre qu’IBL sait aussi apprécier un cadeau).

La Comédie du Livre

Sarah nous fait découvrir un bar libertaire, le Barricade. Pour y boire un verre de vin à 1 euro, il faut avoir sa carte d’adhérent : Vous n’êtes pas obligées d’écrire votre vrai nom, précise inutilement une jeune femme en nous présentant ce qui ressemble à une feuille d’émargement. IBL, alliant l’humour à la discrétion, décide de se faire passer pour Kate Bush, et voici la carte que lui tend la jeune femme :

Notez le petit rond sur le i, un i militant. Nous expliquons à la jeune femme pourquoi nous pleurons de rire et elle s’excuse de ne pas connaître Kate Bush : elle est née en 1992 – ce qui ne l’empêche pas, ajoute-t-elle, de connaître quelques musiques qu’écoute sa mère : Peter Tosh, ça vous dit quelque chose ? Voyant notre hilarité redoubler, elle adopte un discours philosophique : l’âge, déclare-t-elle, c’est dans la tête.

Re Tata Bigoudi

C’était un réel plaisir de faire cette émission avec des amis (ça change tout, c’est très amusant, même si le trac persiste – eh oui, j’ai trébuché). Merci encore à Bruno et Camille pour leur invitation et pour cette généreuse carte blanche. La dernière musique prévue était Anti body de Gazelle Twin mais mon mp3 ne passait pas, aussi Camille a-t-il cliqué sur Shoot de Sonic Youth. Anna et Karen ricanent que c’est bien fait pour moi : depuis notre mésaventure à plat ventre, elles se plaignent du comportement de Liz – elle est vraiment obligée de courir avec nous à chaque fois ? grognent-elles. Leurs musiques à elles, m’assurent-elles, seraient passées sans faire de manières.

(Bruno et Camille s’installent, quelques minutes avant que nous ne prenions l’antenne.)

Tata Bigoudi

Ami.e.s de la métropole lilloise, ce soir à 21h je serai en direct (si j’ai bien compris) dans Tata Bigoudi, l’émission qui défrise l’hétérocratie, sur Radio Campus.

Causette

Un petit article sur La vie effaçant toutes choses dans le magazine Causette, ce mois-ci. J’aurais pu m’amuser à relever toutes les bizarreries que j’ai lues et entendues à propos de ce texte, l’inverse d’un making of – appelons cela un démaking of. C’eût été amusant. Ici, par exemple, Rose est fauchée par un cycliste.

Des radios

Demain, je vais enregistrer une émission à la Maison de la Radio – L’humeur vagabonde, sur France Inter ; je ne sais pas encore quand ce sera diffusé. Et le soir, sur Radio Libertaire, passera mon entretien avec Alexandrine Halliez, que je remercie encore.