Il y a aussi du vide, à Brooklyn, du bon vide, comme je l’aime, qui ressemble à l’été, ou à de l’art contemporain, ou au bout du monde, après la décadence ou l’apocalypse.
Il y a aussi du vide, à Brooklyn, du bon vide, comme je l’aime, qui ressemble à l’été, ou à de l’art contemporain, ou au bout du monde, après la décadence ou l’apocalypse.