Vous seriez sans doute nombreux à me reprocher mes parallèles entre Brooklyn et la métropole lilloise, si vos pigeons avaient assez d’endurance ; je suis sûre que le coup des lions, aigles et zéphyrs embrasés de portails vous a fortement froissés. Pour me rattraper, je veux bien concéder quelques espèces à ma connaissance endémiques, à savoir les éléphants de poteau, les taureaux de cour et les cygnes d’escalier. Vous êtes contents ? Tant mieux, je n’aurai pas couru pour rien ce matin.