1er mai

Petit souvenir d’une rencontre matinale avec Canan Marasligil et Auré de l’association Mine de Culture, au salon du livre d’expression populaire et de critique sociale, hier, à Arras. Canan et moi poursuivions une discussion ébauchée le 6 avril à Libercourt lors du Melting Potch, discussion qui pourrait bien se poursuivre encore puisque, hors micro, nous avons commencé à questionner la notion même de territoire, et la manière dont les mots fractionnent et cloisonnent à l’extrême notre expérience en même temps qu’ils opèrent un lissage de la société – un paradoxe qui m’occupe beaucoup depuis plusieurs mois et que souhaite aussi questionner Mine de Culture. J’espère donc pouvoir dire, à suivre…

Motherfucker

Le nouveau clip de Clemix (mon amie Clémentine Collette) vient d’être lancé officiellement sur le World Wide Web. J’ai l’honneur d’avoir trouvé le site du tournage (n’hésitez pas à faire appel à moi si vous cherchez des lieux glauques), d’y avoir couru avec une GoPro sur la tête (très seyant) et d’avoir vu toutes les versions du clip jusqu’à sa forme définitive (les débriefings d’après projection avec mes amies Aline et Claire vont me manquer). Longue vie à Motherfucker !

Quelques précisions

C’est maintenant sûr, je serai à la librairie La Cavale, à Montpellier, le samedi 18 mai à 15h30 en compagnie de Barlen Pyamootoo, écrivain et cinéaste mauricien également publié par l’Olivier. Nous échangerons sur la thématique « rendre hommage en littérature ».

L’Huma

Cette semaine, ma Ligne 18 a occupé trois pages de L’Humanité : avant-hier, hier et aujourd’hui, l’avant-dernière page réunissait deux photos et trois textes de l’exposition, que j’ai sélectionnés de manière à peu près thématique. Ce matin, j’ai ouvert le journal au relais de la gare et l’image de la jeune athlète m’a sauté à la figure. La jeune athlète dans L’Huma ! J’ai ri toute seule et acheté deux exemplaires, un pour elle et un pour moi.

Quelques rendez-vous

Si vous sonnez au 73 rue Eugène Haynaut, à Béthune, ce soir à 18h, j’aurai le plaisir de vous présenter mon exposition Ligne 18. Ce sera sous forme d’apéro avec quelques Colériques du Présent. Je n’en sais pas plus pour l’instant (vous me direz que c’est déjà bien), vous et moi partagerons le plaisir de la découverte.

Vous pourrez aussi voir cette Ligne 18 au salon du livre d’expression populaire et de critique sociale, également organisé par l’association Colères du Présent, le 1er mai à Arras – où je discuterai avec Canan Marasligil dès 10h du matin (hop) sur la scène des auteur-e-s.

Vous pourrez me voir sans exposition à la Comédie du Livre, à Montpellier, le 18 mai. Je ne sais pas encore ce que j’y ferai – il est vaguement question de claquettes mais rien d’officiel pour l’instant : je vous tiens au courant. Ce qui est sûr, c’est que vous pourrez écouter la lecture musicale de l’incroyable IBL (aka Kate Bish, carrément punk) à la librairie La Cavale, le vendredi 17 mai à 19h30 (pour vous joindre à mon équipe de cheerleaders, vous savez comment me contacter – nous sommes deux pour l’instant, motivez-vous un peu : ce ne sont que des pompons, vous pouvez le faire).

Le vendredi 24 mai, comme annoncé ici, je lirai quelques extraits de A happy woman à la librairie La Forge, à Marcq-en-Baroeul, en compagnie du violoncelliste Guillaume Lafeuille. Venez nombreux avec un petit pull (vestes autorisées) au cas où la météo nous permettrait de nous installer dans la cour.

Et le samedi 25 mai, les Parleuses vous attendront Chez Violette, place Vanhoenacker à Lille, où j’aurai l’honneur d’évoquer la vie et l’œuvre de Carson McCullers (sur une initiative de Littérature, etc. – je remercie Aurélie Olivier pour sa confiance). Pour en savoir plus, cliquez ici. Si vous ne pouvez pas venir parce que vous habitez dans le New Jersey, par exemple, pas de panique : ma présentation existera ensuite sous forme d’un podcast.

NUNC

J’apprends que mon recueil Pas de côté, paru en 2018 aux Carnets du Dessert de Lune, figure dans la première sélection du Prix de la revue NUNC. Plus d’infos ici.

Je rappelle que la préface de ce recueil est de l’inégalable Isabelle Bonat-Luciani, et je profite de l’occasion pour partager avec vous cette vidéo dans laquelle on l’entend lire des extraits de son Et aussi les arbres, paru aux mêmes Carnets du Dessert de Lune en 2018 et lui-même préfacé par Manuel Plaza, que vous entendrez à la guitare dans la vidéo – là, vous n’avez plus qu’à cliquer :

Encore une coïncidence

Aujourd’hui, alors que j’apprends comment Meredith a vécu la lecture de mon livre (ce qui répond aux questions que je me pose aux pages 58 à 63 et surtout, page 137), paraît cet article dans Le Monde des Livres. Je me demande ce qu’elle en penserait…

Retour à la Forge

Je vous donne rendez-vous le vendredi 24 mai à 19h à la Forge (5 Place du Général de Gaulle, à Marcq-en-Barœul), librairie dont je me réjouis d’être la marraine. Je lirai des extraits de A happy woman en compagnie du violoncelliste Guillaume Lafeuille. S’il fait beau, peut-être investirons-nous la cour comme nous l’avons fait l’année dernière ; sinon, nous serons à l’intérieur comme ci-dessous en 2016, lors de l’inauguration de la librairie.

En attendant, n’oubliez pas de venir prendre une heure et un verre à l’Affranchie Librairie, vendredi 29 mars, comme proposé ici.

Libercourt here we come

Mon exposition Ligne 18 continue de se promener. Elle sera visible à partir du 23 mars à la Bibliothèque municipale Raymond Devos de Libercourt.

Le 6 avril, à 15h, je rencontrerai Canan Marasligil dans le cadre du festival MeltingPotch, organisé par l’association Mines de Culture(s), à la salle de l’Emolière de Libercourt : « Regards croisés sur le bassin minier. Fanny Chiarello et Canan Marasligil ont toutes deux été en résidence sur le territoire ces derniers mois. La rencontre entre ces deux auteures issues de deux univers différents permettra de croiser leurs regards sur le bassin minier. »