In the kitchen (16) : vierges maries de Brooklyn

Ici, une église porte le nom d’Upper room, prouvant la pertinence de mes intitulés à ceux d’entre vous qui les mettent régulièrement en cause (ainsi, notamment, le titre de cette rubrique Upper rooms & kitchens, alimentée sans faille depuis plus d’un an tous les dimanches matin).

Aucune à ma connaissance ne porte en revanche celui de Kitchen. Je suis déçue, déçue, déçue, comme dirait ma bien-aimée. Aussi ai-je décidé de demander une contribution à quelques citoyens et révérends de bonne volonté afin de rendre un hommage bien mérité à notre mère à tous.

Une vierge marie en trois fois : d’abord, je me dis, Mais qui est-ce donc là-bas qui supervise les travaux ? Puis je zoome, je zoome, et paf, la vierge marie.

Une vierge marie, bras ballants : Eh, dit-elle à ce moine croisé par hasard dans une niche de Brooklyn, c’est mon bébé, rends-le-moi ! – Tu as rêvé, lui répond l’impudent. – Je reste avec lui, décide le petit, il a des citrouilles. – Good kid ! sourit le moine. Tu seras un bon Américain.